Toronto, ON – Les membres de l’AIMTA qui travaillent pour Air Canada feront les frais d’un nombre considérable de mises à pied temporaires et permanentes en 2010.
Cela découle directement de l’approbation par Transports Canada d’une demande formulée par Air Canada de prolonger l’intervalle de révision majeure de ses appareils A319 et A320. Cette information a été révélée dans le cadre d’une récente rencontre tenue entre des représentants du district 140 de l’AIMTA et le comité d’atelier des opérations techniques, d’un bord, et la haute direction d’Aveos, de l’autre, à Toronto.
« Compte tenu des sacrifices qu’ont accepté de faire nos membres durant la plus récente ronde de négociation pour garder Air Canada en vol, il est de notre avis que la haute direction d’Air Canada et d’Aveos doit mettre en place un certain nombre de mesures d’atténuation que nous avons proposées afin de minimiser l’impact des compressions sur nos membres », affirme Chuck Atkinson, président et directeur général, district 140 de l’AIMTA.
« Nous avons aussi informé à la fois Air Canada et Aveos que nous ne tolérerons aucune impartition du travail réalisé par l’unité de négociation pendant que nos membres sont en chômage », ajoute Atkinson. L’AIMTA a aussi informé les deux compagnies qu’elle évaluait la possibilité de faire intervenir un arbitre indépendant pour mettre en œuvre un protocole de protection du travail de l’unité de négociation et des emplois de ses membres.
« À ce stade-ci, il serait prématuré d’avancer des chiffres précis puisque d’autres discussions sont prévues dans le dossier au début de janvier 2010 », conclut Atkinson.
L’AIMTA est le plus important syndicat présent chez Air Canada, y représentant plus de 11 000 membres.
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Cela découle directement de l’approbation par Transports Canada d’une demande formulée par Air Canada de prolonger l’intervalle de révision majeure de ses appareils A319 et A320. Cette information a été révélée dans le cadre d’une récente rencontre tenue entre des représentants du district 140 de l’AIMTA et le comité d’atelier des opérations techniques, d’un bord, et la haute direction d’Aveos, de l’autre, à Toronto.
« Compte tenu des sacrifices qu’ont accepté de faire nos membres durant la plus récente ronde de négociation pour garder Air Canada en vol, il est de notre avis que la haute direction d’Air Canada et d’Aveos doit mettre en place un certain nombre de mesures d’atténuation que nous avons proposées afin de minimiser l’impact des compressions sur nos membres », affirme Chuck Atkinson, président et directeur général, district 140 de l’AIMTA.
« Nous avons aussi informé à la fois Air Canada et Aveos que nous ne tolérerons aucune impartition du travail réalisé par l’unité de négociation pendant que nos membres sont en chômage », ajoute Atkinson. L’AIMTA a aussi informé les deux compagnies qu’elle évaluait la possibilité de faire intervenir un arbitre indépendant pour mettre en œuvre un protocole de protection du travail de l’unité de négociation et des emplois de ses membres.
« À ce stade-ci, il serait prématuré d’avancer des chiffres précis puisque d’autres discussions sont prévues dans le dossier au début de janvier 2010 », conclut Atkinson.
L’AIMTA est le plus important syndicat présent chez Air Canada, y représentant plus de 11 000 membres.
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