Cambridge, ON – Des membres des équipes des usines d’assemblage de Toyota à Cambridge et à Woodstock ont demandé à l’Association internationale des machinistes et des travailleurs et travailleuses de l’aérospatiale de les représenter.
« Le comité de recrutement interne sonde les travailleurs depuis plusieurs mois et il a reçu plusieurs demandes d’un retour de l’AIM », affirme Ian Morland, recruteur pour le district 140 de l’AIM. L’AIM avait tenté de recruter les deux usines entre septembre 2007 et avril 2008, mais une vague d’embauches par Toyota avait fait en sorte qu’il était impossible de déterminer le nombre de cartes qui devaient être signées afin de demander la tenue d’un vote.
« La différence maintenant, c’est que les membres des équipes de Toyota ont retrouvé très majoritairement leur intérêt pour l’AIM et veulent négocier une convention collective avec l’employeur, explique Morland. Ce sont des gens qui travaillent fort et qui sont très fiers du produit de qualité qu’ils assemblent ici. Cependant, ils veulent aussi sécuriser leur avenir et sont très conscients qu’une convention collective peut faire toute une différence pour améliorer leur qualité de vie. »
L’AIM représente des milliers de membres au sein de l’industrie canadienne du transport automobile à l’emploi d’usines d’assemblage et de fabrication de pièces en Ontario, au Manitoba, en Alberta et en Colombie-Britannique. L’AIM représente plus de 700 000 membres actifs et retraités et gère plus de 5000 conventions collectives dans les industries des transports, du travail du bois, de l’aérospatiale et de la défense.
« Le comité de recrutement interne sonde les travailleurs depuis plusieurs mois et il a reçu plusieurs demandes d’un retour de l’AIM », affirme Ian Morland, recruteur pour le district 140 de l’AIM. L’AIM avait tenté de recruter les deux usines entre septembre 2007 et avril 2008, mais une vague d’embauches par Toyota avait fait en sorte qu’il était impossible de déterminer le nombre de cartes qui devaient être signées afin de demander la tenue d’un vote.
« La différence maintenant, c’est que les membres des équipes de Toyota ont retrouvé très majoritairement leur intérêt pour l’AIM et veulent négocier une convention collective avec l’employeur, explique Morland. Ce sont des gens qui travaillent fort et qui sont très fiers du produit de qualité qu’ils assemblent ici. Cependant, ils veulent aussi sécuriser leur avenir et sont très conscients qu’une convention collective peut faire toute une différence pour améliorer leur qualité de vie. »
L’AIM représente des milliers de membres au sein de l’industrie canadienne du transport automobile à l’emploi d’usines d’assemblage et de fabrication de pièces en Ontario, au Manitoba, en Alberta et en Colombie-Britannique. L’AIM représente plus de 700 000 membres actifs et retraités et gère plus de 5000 conventions collectives dans les industries des transports, du travail du bois, de l’aérospatiale et de la défense.