Thunder Bay, ON – La Commission des relations de travail de l’Ontario entendra une plainte déposée contre Dominion Motors par la section locale 1120 de l’AIMTA le 1er mars 2012. Dans sa plainte, le syndicat accuse l’employeur de pratiques déloyales de travail. Le 13 février dernier, la concession automobile a décrété un lock-out contre ses employés syndiqués.
« Cet employeur a attendu à la toute dernière minute avant de fermer les portes à la fin de la journée le vendredi 10 février pour afficher l’avis de lock-out. En fait, il pensait que tout le monde avait déjà quitté pour la journée », explique Rob Thompson, agent d’affaires directeur pour l’AIMTA. Les négociations avaient été rompues le 3 février, le syndicat ayant refusé de signer toute entente de principe si elle n’enchâssait pas une clause sur la sous-traitance. Les négociations achoppent principalement sur l’absence d’une telle clause.
« L’entente originale devait couvrir la période comprise entre le 1er mars 2011 et le 28 février 2014, ajoute M. Thompson. Maintenant, l’employeur veut une entente du 1er mars 2012 à février 2015 et refuse de verser le moindre sou en salaire rétroactif pour couvrir l’année pendant laquelle les employés ont été sans contrat. C’est totalement inacceptable. »
Le lock-out touche 22 membres, dont des mécaniciens, des préposés aux pièces, des carrossiers, des peintres, des préposés à l’entretien ménager et des manœuvres.
L’AIMTA représente les travailleurs de 11 concessions automobiles de Thunder Bay et de Sault Ste. Marie.
« Cet employeur a attendu à la toute dernière minute avant de fermer les portes à la fin de la journée le vendredi 10 février pour afficher l’avis de lock-out. En fait, il pensait que tout le monde avait déjà quitté pour la journée », explique Rob Thompson, agent d’affaires directeur pour l’AIMTA. Les négociations avaient été rompues le 3 février, le syndicat ayant refusé de signer toute entente de principe si elle n’enchâssait pas une clause sur la sous-traitance. Les négociations achoppent principalement sur l’absence d’une telle clause.
« L’entente originale devait couvrir la période comprise entre le 1er mars 2011 et le 28 février 2014, ajoute M. Thompson. Maintenant, l’employeur veut une entente du 1er mars 2012 à février 2015 et refuse de verser le moindre sou en salaire rétroactif pour couvrir l’année pendant laquelle les employés ont été sans contrat. C’est totalement inacceptable. »
Le lock-out touche 22 membres, dont des mécaniciens, des préposés aux pièces, des carrossiers, des peintres, des préposés à l’entretien ménager et des manœuvres.
L’AIMTA représente les travailleurs de 11 concessions automobiles de Thunder Bay et de Sault Ste. Marie.
