Toronto, ON – « Nous devons mettre fin à la violence contre les femmes maintenant, affirme le vice-président général canadien de l’AIMTA, Dave Ritchie. Il est temps pour nous d’arrêter d’en parler et d’agir! »
M. Ritchie incite tous ses membres à participer aux campagnes communautaires, nationales et internationales du 6 décembre pour mettre fin à la violence contre les femmes. Des veilles locales et d’autres événements se tiendront dans plusieurs communautés d’un bout à l’autre du Canada.
Au Canada, le 6 décembre est la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, promulguée en 1991 par le Parlement du Canada. Le 6 décembre 1989, 14 femmes ont été sauvagement assassinées à l’École Polytechnique de Montréal. Le 6 décembre 2009 marque donc le 20e anniversaire de cette tuerie.
« Notre syndicat s’est engagé à ne jamais commettre, encourager, tolérer ou ignorer la violence faite aux femmes par les hommes, mais ce qui m’attriste est de savoir que nous connaissons tous au moins une femme dans notre entourage qui a été victime d’une telle violence, conclut M. Ritchie. Les hommes doivent traiter les femmes avec le même respect et la même dignité qu’ils exigent et auxquels ils s’attendent pour eux-mêmes. »
À l’échelle mondiale, une femme sur trois est affectée par la violence. Selon les données de 2006 de Statistique Canada, les taux de violence faite aux femmes n’ont pas changé depuis, et ils sont pire dans le cas des femmes autochtones et immigrantes.
M. Ritchie incite tous ses membres à participer aux campagnes communautaires, nationales et internationales du 6 décembre pour mettre fin à la violence contre les femmes. Des veilles locales et d’autres événements se tiendront dans plusieurs communautés d’un bout à l’autre du Canada.
Au Canada, le 6 décembre est la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, promulguée en 1991 par le Parlement du Canada. Le 6 décembre 1989, 14 femmes ont été sauvagement assassinées à l’École Polytechnique de Montréal. Le 6 décembre 2009 marque donc le 20e anniversaire de cette tuerie.
« Notre syndicat s’est engagé à ne jamais commettre, encourager, tolérer ou ignorer la violence faite aux femmes par les hommes, mais ce qui m’attriste est de savoir que nous connaissons tous au moins une femme dans notre entourage qui a été victime d’une telle violence, conclut M. Ritchie. Les hommes doivent traiter les femmes avec le même respect et la même dignité qu’ils exigent et auxquels ils s’attendent pour eux-mêmes. »
À l’échelle mondiale, une femme sur trois est affectée par la violence. Selon les données de 2006 de Statistique Canada, les taux de violence faite aux femmes n’ont pas changé depuis, et ils sont pire dans le cas des femmes autochtones et immigrantes.