Vancouver, C.-B. – Stan Pickthall n’a pas pris le train pour se rendre à Vancouver, mais il s’y est rendu par avion et il a visité plusieurs automobiles lors de sa plus récente visite sur place de divers lieux de travail de l’Association internationale des machinistes (AIM).
Le vice-président général canadien, de même que le chef du personnel Gord Falconer, se sont joints à la présidente générale de la section du district 140 des transports 140, Tania Canniff, pour faire la tournée des activités de la société G4S à l’Aéroport international de Vancouver. « Ce fut une expérience unique pour moi que de me rendre dans la partie souterraine de l’un des aéroports les plus achalandés au Canada », confie M. Pickthall. « Nos membres ici assurent le contrôle de la sécurité et la sécurité du périmètre, font l’entretien du système d’acheminement des bagages souterrain et beaucoup plus. Ils font tellement de choses à chaque jour que la plupart des gens ignorent. Ce fut une révélation pour moi. »
Des avions, la visite est passée aux modes de transport automobiles, où la section de district 250 de l’AIM représente la plus forte concentration de concessionnaires automobiles membres au pays. Des techniciens automobiles jusqu’au personnel affecté aux pièces, en passant par les détaillants, M. Pickthall a été en mesure de visiter deux installations exploitées par Brown Brothers Ford. Accompagné de l’agent d’affaires directeur de la section locale du district 250 de l’AIM, Walter Gerlach, ce fut l’occasion de s’entretenir avec les membres à propos du service qu’ils reçoivent du syndicat, de l’atmosphère de leur lieu de travail, de même que de tout élément que l’AIM peut améliorer. « C’est plus relaxant de parler avec les membres au travail, ils sont plus à l’aise dans cet environnement, ils sont plus ouverts et prêts à vous dire le fond de leur pensée », indique M. Pickthall. « Parfois, vous devez être prêts à recevoir des plaintes ou des demandes, mais cela va de pair avec le territoire. Chaque lieu de travail est différent et comporte son propre lot de problèmes, c’est mon travail que d’écouter les bonnes et mauvaises choses que les gens ont à me dire et d’agir en conséquence, et c’est là que réside l’utilité de ces visites. »