Toronto, ON – L’AIM a déposé cinq griefs de congédiement au nom des agents de contrôle de la sécurité aéroportuaire de Garda lors d’une audience d’arbitrage tenue le 11 juin 2012. C’était la première fois que l’AIM déposait des griefs au nom des agents de contrôle de la sécurité en poste à l’aéroport Pearson depuis qu’elle est devenue leur représentant officiel en mars dernier.
Depuis le 14 mars 2012, l’AIM a pris le relais du STCA dans plus de 250 dossiers comportant un grief non résolu, dont certains remontent aussi loin qu’en 2010. « C’est du jamais vu et c’est disgracieux, affirme Carlos DaCoasta, coordonnateur des lignes aériennes pour l’AIM. L’AIM s’est rapidement mis au travail pour trouver le bon arbitre et un processus approprié pour régler ces centaines de griefs. »
Toutefois, l’AIM voulait mettre en place un processus d’arbitrage équitable en vue de régler de futurs griefs en temps opportun au nom des agents de contrôle de la sécurité à Toronto.
En mai 2012, agissant au nom du district 140, M. DaCosta a conclu une entente d’arbitrage accéléré avec des représentants de l’aéroport et l’arbitre Brian Keller.
« Le processus d’arbitrage accéléré est beaucoup utilisé aux quatre coins du Canada, voire par le système judiciaire, pour régler des affaires juridiques, explique M. DaCosta. Il s’agit d’un processus juste et équitable qui permet au plaignant de se faire entendre en cour et de faire valoir sa version des faits auprès d’un arbitre en temps opportun.
Au bout du compte, à l’avenir, les membres n’auront pas à attendre aussi longtemps pour régler leurs griefs. »
« L’AIM est heureuse d’avoir réussi à présenter les cinq premiers griefs de congédiement le 11 juin dernier, et nous espérons avoir une décision exécutoire écrite de l’arbitre d’ici deux semaines, précise pour sa part Lou Pagrach, président général pour le district 140 de l’AIM.
Grâce à ce nouveau processus, nous devrions être en mesure d’éviter les délais et l’accumulation de griefs non résolus. » M. Pagrach a aussi assisté à la première audience. Il compte utiliser ce nouveau processus dans sa représentation des agents de contrôle de la sécurité de Pearson.
L’arbitre Keller transmettra ses décisions au syndicat et à l’employeur dans un délai d’environ deux semaines, après quoi l’AIM communiquera avec tous les plaignants concernés pour les informer de la décision définitive et obligatoire rendue dans leur dossier de grief.
L’AIM est le plus important canadien représentant des agents de contrôle de la sécurité aéroportuaire en Ontario (Toronto), en Saskatchewan et en Colombie-Britannique.
Depuis le 14 mars 2012, l’AIM a pris le relais du STCA dans plus de 250 dossiers comportant un grief non résolu, dont certains remontent aussi loin qu’en 2010. « C’est du jamais vu et c’est disgracieux, affirme Carlos DaCoasta, coordonnateur des lignes aériennes pour l’AIM. L’AIM s’est rapidement mis au travail pour trouver le bon arbitre et un processus approprié pour régler ces centaines de griefs. »
Toutefois, l’AIM voulait mettre en place un processus d’arbitrage équitable en vue de régler de futurs griefs en temps opportun au nom des agents de contrôle de la sécurité à Toronto.
En mai 2012, agissant au nom du district 140, M. DaCosta a conclu une entente d’arbitrage accéléré avec des représentants de l’aéroport et l’arbitre Brian Keller.
« Le processus d’arbitrage accéléré est beaucoup utilisé aux quatre coins du Canada, voire par le système judiciaire, pour régler des affaires juridiques, explique M. DaCosta. Il s’agit d’un processus juste et équitable qui permet au plaignant de se faire entendre en cour et de faire valoir sa version des faits auprès d’un arbitre en temps opportun.
Au bout du compte, à l’avenir, les membres n’auront pas à attendre aussi longtemps pour régler leurs griefs. »
« L’AIM est heureuse d’avoir réussi à présenter les cinq premiers griefs de congédiement le 11 juin dernier, et nous espérons avoir une décision exécutoire écrite de l’arbitre d’ici deux semaines, précise pour sa part Lou Pagrach, président général pour le district 140 de l’AIM.
Grâce à ce nouveau processus, nous devrions être en mesure d’éviter les délais et l’accumulation de griefs non résolus. » M. Pagrach a aussi assisté à la première audience. Il compte utiliser ce nouveau processus dans sa représentation des agents de contrôle de la sécurité de Pearson.
L’arbitre Keller transmettra ses décisions au syndicat et à l’employeur dans un délai d’environ deux semaines, après quoi l’AIM communiquera avec tous les plaignants concernés pour les informer de la décision définitive et obligatoire rendue dans leur dossier de grief.
L’AIM est le plus important canadien représentant des agents de contrôle de la sécurité aéroportuaire en Ontario (Toronto), en Saskatchewan et en Colombie-Britannique.