Ottawa, ON – À Ottawa, les cercles politiques entendent de plus en plus parler de l’AIM. À la mi-avril, 70 membres du Syndicat des machinistes ont participé à un lobby politique de masse sur la Colline parlementaire, organisé par le Congrès du travail du Canada. Nos membres ont fait pression sur des députés des trois partis et leur ont fait valoir la nécessité de hausser les prestations du Régime de pensions du Canada, de stopper le Partenariat transpacifique et de mettre fin à l’importation d’amiante au Canada. Nous étions de retour à Ottawa la première semaine de mai, fort d’une délégation de 22 personnes qui ont fait des pressions sur les membres du Comité des transports de la Chambre des communes dans le dossier du projet de loi C-10, Loi modifiant la Loi sur la participation publique au capital d’Air Canada. Non seulement avons-nous exercé des pressions sur les membres du Comité, mais aussi nous avons témoigné aux audiences du Comité et suggéré des modifications à la Loi qui permettraient non seulement de sauver les emplois de nos membres chez Air Canada, mais aussi d’assurer la croissance soutenue de l’industrie canadienne de l’entretien, la réparation et la révision. David Chartrand, coordonnateur de l’AIM au Québec, figure par ceux qui ont pris la parole devant le Comité. Il est d’avis que les efforts de lobbying de l’AIM ont eu un impact.