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Toronto, ON – Le rendement du Canada dans le dossier de l’égalité des femmes accuse de graves retards, selon un rapport publié par des groupes syndicaux et féministes. Le rapport intitulé Confrontation avec la réalité : Les femmes au Canada et la Déclaration et Programme d’action de Beijing après 15 années sera distribué à la rencontre Beijing +15, qui se tiendra au siège des Nations Unies à New York du 1er au 12 mars 2010.
« Il y a cinq ans, le Canada se classait parmi les dix premiers pays au monde pour ce qui est de la défense des droits fondamentaux des femmes, mais en 2009, il occupait le 73e rang de l’indice d’inégalité entre les sexes de l’ONU, dénonce le vice-président général canadien de l’AIMTA, Dave Ritchie. Des modifications à l’architecture des sexes, les changements apportées aux politiques et aux programmes du gouvernement et la réponse du gouvernement à la crise économique ont le plus durement frappé les femmes et les filles les plus vulnérables au Canada. »
« Notre gouvernement a envoyé un rapport aux Nations Unis qui dresse un portrait embelli de la situation quant à l’égalité des femmes au Canada. Nous avons donc préparé notre propre document qui réfute ce qu’affirme le gouvernement », explique M. Ritchie.
À la réunion des Nations Unies en mars, on évaluera le progrès réalisé, identifiera les défis et recommandera des politiques visant à encourager l’égalité entre les sexes et l’avancement des femmes. Cette année est d’une importance particulière, puisqu’elle marque le 15e anniversaire de la 4e Conférence mondiale sur les femmes de l’ONU.
M. Ritchie ajoute : « Malgré les engagements pris par le Canada en matière d’équité salariale, le gouvernement fédéral n’a pas respecté ses engagements. Le gouvernement a plutôt abrogé le droit à l’équité salariale des fonctionnaires fédéraux en 2009, en adoptant la Loi sur l’équité dans la rémunération du secteur public. Nous soulevons ce point dans notre rapport et avons l’intention de le mettre en évidence la semaine prochaine au siège des Nations Unis à New York. »
Le rapport conjoint a été coordonné et produit conjointement par l’Alliance canadienne féministe pour l’action internationale et le Congrès du travail du Canada. Il a reçu l’appui de plusieurs autres organisations.
Toronto, ON – Le rendement du Canada dans le dossier de l’égalité des femmes accuse de graves retards, selon un rapport publié par des groupes syndicaux et féministes. Le rapport intitulé Confrontation avec la réalité : Les femmes au Canada et la Déclaration et Programme d’action de Beijing après 15 années sera distribué à la rencontre Beijing +15, qui se tiendra au siège des Nations Unies à New York du 1er au 12 mars 2010.
« Il y a cinq ans, le Canada se classait parmi les dix premiers pays au monde pour ce qui est de la défense des droits fondamentaux des femmes, mais en 2009, il occupait le 73e rang de l’indice d’inégalité entre les sexes de l’ONU, dénonce le vice-président général canadien de l’AIMTA, Dave Ritchie. Des modifications à l’architecture des sexes, les changements apportées aux politiques et aux programmes du gouvernement et la réponse du gouvernement à la crise économique ont le plus durement frappé les femmes et les filles les plus vulnérables au Canada. »
« Notre gouvernement a envoyé un rapport aux Nations Unis qui dresse un portrait embelli de la situation quant à l’égalité des femmes au Canada. Nous avons donc préparé notre propre document qui réfute ce qu’affirme le gouvernement », explique M. Ritchie.
À la réunion des Nations Unies en mars, on évaluera le progrès réalisé, identifiera les défis et recommandera des politiques visant à encourager l’égalité entre les sexes et l’avancement des femmes. Cette année est d’une importance particulière, puisqu’elle marque le 15e anniversaire de la 4e Conférence mondiale sur les femmes de l’ONU.
M. Ritchie ajoute : « Malgré les engagements pris par le Canada en matière d’équité salariale, le gouvernement fédéral n’a pas respecté ses engagements. Le gouvernement a plutôt abrogé le droit à l’équité salariale des fonctionnaires fédéraux en 2009, en adoptant la Loi sur l’équité dans la rémunération du secteur public. Nous soulevons ce point dans notre rapport et avons l’intention de le mettre en évidence la semaine prochaine au siège des Nations Unis à New York. »
Le rapport conjoint a été coordonné et produit conjointement par l’Alliance canadienne féministe pour l’action internationale et le Congrès du travail du Canada. Il a reçu l’appui de plusieurs autres organisations.